L’être humain est un hologramme. Ses problématiques sont un labyrinthe.
Quand la maladie, le mal-être, les tensions prennent le dessus, le doute arrive.
Sur quoi agir ?
Les symptômes seuls ?
Les émotions seules ?
Où sont les priorités ?
L’urgent s’impose . À travers lui, l’important se manifeste .
Gardons l’image du labyrinthe, et entrons dans la légende …
Tapi tout au fond du labyrinthe (nos différentes dimensions, corporelles ou subtiles, totalement imbriquées les unes avec les autres) le Minotaure en nous représente une force destructrice, ou tout au moins déséquilibrante, qui est le produit de l’ensemble de nos éléments perturbateurs : masse indistincte de pensées et de croyances souvent inconscientes, de circuits, de dosages biochimiques, d’impulsions.
Tous ces éléments interagissent, emmêlant allègrement passé et présent, corps et esprit en un écheveau inextricable .
LE MINOTAURE SE NOURRIT, pêle-mêle : d’un moral en baisse, des multiples petits maux qui ne désarment pas, d’une dévalorisation, d’une overdose de nouveautés, d’une sensation diffuse de “peut mieux faire” , d’insatisfaction, de pensées et comportements que l’on reproduit malgré soi, de peurs, de colères, etc. Il se nourrit aussi des événements, parfois terrifiants, que nous vivons , ou dont nous abreuvent les médias… Ils se nourrit bien sûr des tous les problèmes non guéris de notre passé ou de notre héritage familial. La liste est infinie. Ainsi nourri le Minotaure produit des symptômes - utiles, très utiles, puisqu’il faut bien s’en occuper d’urgence !
Dans cette histoire, qui sera le Prince troyen Thésée ?
Thésée est le héros libérant son peuple ami (ses cellules, ses pensées, ses émotions) du tribut à payer régulièrement au Minotaure : la maladie, la crise émotionnelle, le mal-être.
Thésée est le Prince soucieux d’aller au delà des symptômes pour comprendre l’important message délivré,
et RÉSOUDRE la crise.